Le jardin des caresses
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Ode à la magicienne
Au bord du Nil, à l’heure où les rivages s’assombrissent De mes mains puissantes et chaudes…
Au bord du Nil, à l’heure où les rivages s’assombrissent De mes mains puissantes et chaudes j’esquisse Le corps d’une magicienne à la chevelure de jais, Dont les courbes pleines, promesses de délices…