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  • Dkresses
  • Le jardin des caresses
  • Femme
  • 05/04/1965

Entre nous ...

J'aime écrire, rêver et partager ... des petites histoires érotiques sorties de mon imagination, des lectures, des réflexions personnelles ... le tout saupoudré d'un peu d'humour. En résumé, partager dans le plaisir et la bonne humeur, tel est mon souhait.
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Rêveries érotiques

Vendredi 21 novembre 5 21 /11 /Nov 07:57

Elsa sent son coeur faire un grand bond dans sa poitrine et battre à tout rompre. Etre à la merci de ces deux hommes l' excite au plus haut point. Sans ambages,  Morgan enfonce alors deux doigts dans son ventre trempé d' excitation.... Deux doigts insidieux, exigeants, qui se lancent dans une série de va et vient rapides. L' intensité du plaisir arrache à la jeune femme une litanie de gémissements, étouffés par la verge de Florian qui la bâillonne. Privée de l' usage de ses mains, mais toujours guidée par celles de Florian, Elsa continue sans difficulté à faire jouer sa bouche et sa langue sur la hampe éperdue de désir... Elle regarde le jeune homme, se demandant si la caresse n' est pas moins agréable pour lui, mais apparemment la posture d' Elsa et pouvoir la contempler ainsi entravée le comble.... Les doigts de Morgan sont insistants, rapides, Elsa sent la vague arriver, imminente, le plaisir lui tord déjà le ventre. Florian lui tire alors doucement la tête en arrière, libérant sa bouche, la laissant crier son plaisir alors qu' elle est secouée de soubresauts. Morgan attend un instant, il n' a pas arrêté ses caresses mais ses doigts vont et viennent tout doucement dans le ventre d' Elsa. Celle-ci reprend son souffle, la joue posée sur le ventre de Florian, avant d' y déposer des baisers tendres.



Morgan fait lentement glisser ses doigts hors du ventre d' Elsa. Il se penche pour chercher ses lèvres, la jeune femme répond fougueusement à son baiser. Il l' aide à se redresser et se remettre à genoux. Elsa voit alors qu' une jeune femme vient d' entrer dans la pièce. Grande, très fine, elle est nue. Pour toute parure, elle porte trois fines chaînes d'or agrémentées de perles dorées, qui habillent en cascades son décolleté, et des escarpins noirs à hauts talons. Rien d' autre .... Ses cheveux coupés assez courts auréolent son visage de bouclettes serrées, couleur feu, telles un écho au jeu des flammes dans la cheminée. Elle se tient immobile, gracieuse, ses petits seins  dardant leurs tétons roses avec arrogance. Elsa constate qu' elle est intégralement épilée. Silencieuse, elle fixe le trio de ses yeux verts.




Morgan traverse la pièce pour aller au devant de la femme. Il passe le bras autour de ses reins, l' attire à lui, pose se lèvres sur les siennes et la gratifie dun baiser charnel. Le corps gracile de la jeune femme se cambre, semble prêt à ployer sous l' étreinte virile, et elle vient se coller tout contre le corps de Morgan, ses seins s' écrasant contre le torse masculin. Leurs corps s' épousent parfaitement, tels deux danseurs de tango prêts à sélancer sur la piste.

Florian attrape alors les hanches d' Elsa et l' embroche sur son membre tendu. Elle ne peut retenir une longue plainte. Florian entame une série de mouvements doux et amples, elle se sent prise au plus profond avec une lenteur et une douceur exquise. Chaque mouvement de hanches du jeune homme lui arrache un gémissement, la laisse haletante.
Pendant ce temps, Morgan et sa compagne se dirigent à pas souples vers la table, où Morgan étend la jeune femme. Il se penche sur elle, ils s' embrassent farouchement, puis la bouche de l' homme descend sur le cou de la femme, sur les seins qu'' l aspire et caresse .... Comme hypnotisée, Elsa contemple les mamelons roses qui disparaissant entre les lèvres masculines, ressortent tendus de plaisir, luisant de salive, et disparaissent à nouveau, happé par la bouche gourmande ... le ventre d' Elsa tressaille frénétiquement, les gémissements de la rouquine lui arrachent d' affolantes petites contractions intimes... elle voudrait couvrir Florian de caresses, de baisers brûlants, l' embrasser à pleine bouche, se déhancher comme une folle... Normalement dans cette position elle devrait pouvoir contrôler quelque chose. Mais ses poignets sont prisonniers et c' est Florian qui mène le jeu. Il lui tient fermement les hanches et lui impose son rythme langoureux . Encore ...encore .... il va tout doucement, la frôle à peine, la transperce pourtant, joue à la maintenir en l' air quelques secondes, presque libérée de sa verge avant de l' empaler à nouveau avec une infinie douceur . Elle se sent tout à la fois frôlée, envahie, prise .... si délicieusement, si profondément prise .... Une langueur indescriptible s' empare de tout son corps ...




Sur la table Morgan continue de butiner la jolie rousse et il lui relève les jambes maintenant, les passant par-dessus ses épaules. Les jambes de la femme sont si fines, elles paraissent avoir une longueur démesurée, elle est si gracile
La cuisse de la jeune femme cache le visage de Morgan, mais Elsa devine aisément ce qu' il fait, pas besoin d' être devin et les gémissements de la jeune femme sont de plus en plus éloquents.

Elsa imagine cette bouche masculine dont elle a si bien éprouvé la volupté tout à l'heure, rien qu'à cette pensée ses parois intimes se contractent doucement. Elle se remémore ces lèvres sensuelles, cette langue insidieuse qu' elle imagine bien maintenant, écartant les pétales soyeuse de la jeune femme ... une langue impérieuse, insolente, explorant sans répit le moindre recoin, s' enfonçant dans moiteurs intimes de la jeune femme.... une bouche gourmande, dévorante ... et ces doigts, doux , puissant, inquisiteurs .... la femme gémit de plus en plus fort, sans retenue, la chevelure sombre de Morgan entre ses cuisses, les reins cambrés, elle se colle contre cette bouche infernale pour s' offrir plus encore.
Le désir gronde dans le ventre d' Elsa, elle va hurler si Florian n' accélère pas la cadence : elle veut jouir avec lui, jouir de lui, qu' il la baise enfin et jouisse avec elle ! Animé dun même désir, Florian de déchaine tout à coup, attirant fermement les hanches d' Elsa vers lui. Sur la table la femme vient de jouir et Morgan passe ses jambes autour de ses hanches et la pénètre d'un coup . Les deux hommes se démènent de concert, Morgan tient fermement sa partenaire, dont le corps glisse par à coups sur la table sous les assauts virils. Chaque coup de reins lui arrache un cri, qui fait écho à ceux d'Elsa . Celle-ci suit la cadence imposée par Florian, par Morgan ; le mouvement rythmique des hanches de Morgan, la verge de Florian qui la pilonne, chaque cri de la femme auxquels sunissent désormais les gémissements des deux hommes, la propulsent vers la jouissance ... qui arrive enfin, intense, déchirante, libératrice alors que Florian explose de plaisir en salves puissantes tout au creux de son ventre. La jolie rouquine et son compagnon ont joui aussi et sur la table Morgan berce tendrement son amante .

Par Dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mardi 18 novembre 2 18 /11 /Nov 18:54

Malgré le côté incongru de la situation, Elsa a le réflexe de regarder la pièce plus en détails. Le sol est en parquet brut, visiblement très ancien. Même si les meubles sont propres -aucune trace de poussière n' est visible- il se dégage de la pièce une étrange impression d' abandon. La maison ne parait pas habitée, on dirait qu' elle n' a pas dâme...

La voix du beau ténébreux met fin à ses réflexions et la ramène soudain sur terre. " - Nous avons de la visite, Florian ", annonce t-il d' un ton mi cérémonieux, mi amusé.
" - Fais donc entrer Mademoiselle, Morgan ", répond le dénommé Florian. Elsa ouvre la bouche pour protester, il est hors de question qu' elle s' attarde ici. Mais vif comme l' éclair, Morgan a déjà claqué la porte, et débarrasse Elsa de son chapeau et de sa cape. Ses gestes, bien que rapides, n' ont rien d' agressifs néanmoins ... il pousse doucement Elsa vers le canapé. Celle-ci se sent toute bizarre, son instinct lui dit de partir d' ici sans plus attendre, la voix de la raison lui rappelle en outre que sa soeur l' attend, mais toute volonté semble lui échapper. Elle reste coite. Elle si prompte à la réflexion, elle qui n' a jamais sa langue dans sa poche, ne dit rien. Sa bouche refuse d' articuler un son. Ses jambes lui paraissent douées d' une volonté propre et la portent tout droit vers Florian.
Près de lui maintenant, Elsa constate qu' il a de magnifiques yeux gris admirablement mis en valeur par des lunettes à demi monture noire rectangulaire ... une forme assez sévère mais qui lui va remarquablement bien, sans lui durcir le visage ... visage où s' épanouit un sourire à faire fondre la banquise. Florian ne s' est pas levé, mais depuis le canapé, il tend la main à Elsa. Comme dans un rêve, Elsa la saisit. Tout en prenant place sur le canapé, elle peut constater que la vigueur du jeune homme n' a pas faibli. L' arrivée inopinée d' Elsa ne lui a pas fait perdre ses moyens ...

La jeune femme rougit légèrement, tout en s' agenouillant face à Florian, ses genoux de part et d' autre des jambes du jeune homme. Serrant la main d' Elsa dans la sienne, il l' attire vers lui. Elsa se sent poussée par une force irrésistible et leurs visages se rapprochent l' un de lautre, les yeux dans les yeux ... Elsa pense encore une fois que cet homme a un regard magnifique, magnétique, avant que leurs bouches impatientes ne s' emparent l' une de lautre. La jeune femme se sent défaillir. Cet homme embrasse divinement. Elle se laisse aller au vertige du contact de cette bouche chaude et sensuelle, de cette langue qui s' invite dans sa bouche et s' enroule autour de la sienne. Des baisers chauds, veloutés, passionnés ... une invitation suggestive à l' abandon, au plaisir charnel.... et ce désir explicite, brut, chaud, qui appuie contre son ventre... Elle sent le sien revenir en vagues brûlantes, noyer à nouveau son intimité. Elle oublie complètement Morgan qui d' ailleurs vient de quitter la pièce. Elle ferme les yeux de plaisir, enlace Florian, lui caresse la nuque. Ses doigts fins se risquent dans la chevelure claire. Florian passe la main dans les boucles soyeuses de la jeune femme, effleure son cou du bout des doigts. Puis il parcoure de caresses langoureuses les épaules féminines, dérive sur le haut de son dos, savourant cette peau nue et si incroyablement douce. Ses mains s' attardent, puis descendent, prenant le temps d' apprécier le toucher sensuel du bustier de satin. Lentement, il entreprend d' en ouvrir la fermeture. Ses lèvres butinent le cou de la jeune femme, où la moiteur de ses baisers se mêle à son souflle chaud. Elsa sent le bustier relâcher progressivement son étreinte, jusqu' à céder, libérant sa poitrine généreuse.
Florian empaume aussitôt les seins d' Elsa, effectue des caresses circulaires sur tout le sein, lentement, avant d' en saisir délicatement la pointe entre les doigts.... puis dans sa bouche. Elsa soupire, gémit son plaisir en de douces plaintes. Elle laisse vagabonder ses lèvres en baisers suaves dans le cou de Florian. Elle aspire délicatement la peau masculine dans sa bouche, l' homme gémit à son tour.... Elsa sourit, se redresse, pose sa main droite sur l' épaule de Florian et la promène tout le long de son torse et de son ventre, les doigts légèrement recourbés. La caresse aérienne du bout des doigts de la jeune femme, associée à celle de ses ongles, déclenche une série de frémissements dans le corps du jeune homme. Elsa se penche à nouveau, et sa bouche emprunte le chemin parcouru précédemment par sa main, elle dépose des baisers chauds et humides, prenant son temps, s' attardant pour aspirer et mordiller les mamelons. Nouvelle pause plus bas, au niveau du nombril .... à partir de là, sa main part à droite, sa bouche à gauche, elle évite tout contact direct avec le sexe de Florian, s' amusant toutefois à attiser son désir en le frôlant de la joue. Elle est parfaitement consciente de l' impatience de Florian.... de son désir qui croit au fur et à mesure que la bouche langoureuse d' Elsa descend le long de son ventre, qui se creuse sous les baisers et caresses de la jeune femme.




Alors qu' elle est ainsi, le visage contre le ventre de Florian, la croupe en l' air, Elsa sent qu' on relève soudain sa jupe. Une main parcoure sans plus de façons sa cuisse puis ses fesses de caresses. Morgan ! Elle l' avait complètement oublié! Elle a à peine le temps de réaliser, que, clac ! les lanières d' un martinet s' abattent sèchement sur sa fesse. Le coup a été bref, rapide, mesuré, juste de quoi lui cuire un peu la peau. Elsa se redresse, furieuse, pour protester mais la main de Morgan lui bloque le dos. Il retourne aussitôt le martinet et en faufile le manche entre les lèvres intimes d' Elsa. Il appuie doucement, frotte, titillant à loisir ses lèvres et son bouton... sa main délaisse le dos d' Elsa pour aller caresser sa fesse et sa cuisse. La bouche collée tout contre le ventre de Florian, Elsa ne peut retenir une série de gémissements sous les va et vient de ce manche insidieux, frottant, excitant. Elle couvre le ventre du jeune homme de baisers brûlants, saisit la verge tendue dans la main. Le manche du martinet glisse, se retire, la main de Morgan remonte de la fesse d' Elsa à ses reins, la bloque et le martinet s' abat à nouveau. Elsa tressaille, pousse un petit cri, serre convulsivement le sexe de Florian qui gémit. Le martinet est à nouveau retourné, mais cette fois le manche non seulement vient frotter langoureusement la vulve dElsa, mais il risque une incursion dans son ventre. Et ce n' est plus seulement la main de Morgan, mais aussi sa bouche et sa langue qui viennent tendrement réconforter la fesse d' Elsa. Elle gémit, se cabre sous ces assauts de plaisir, le ventre embrasé par les va et vient du martinet en elle. La bouche et la langue de Morgan la rende folle. Elle n'y tient plus.... dans sa main palpite la hampe de Florian, vibrante, tendue dans l' attente de sa bouche. Elle la prend en bouche sans plus attendre.... Sous elle l' homme exhale en une longue plainte son plaisir. Malgré son excitation Elsa s' attarde sur le gland dabord, le cajolant de la pulpe de ses lèvres douces comme de la soie, humides... puis, de la langue , prodigue quelques coups langoureux bien ciblés sous le gland avant de s' en occuper entièrement... la langue de la jeune femme tourne, tourne, ses lèvres aspirent et relâchent en légers va et vient ... elle veut prendre le temps de sentir et faire ressentir.... Florian gémit, il pose sa main sur les cheveux d' Elsa. Celle ci fémit, elle adore sentir la main de son partenaire caresser ses cheveux et l' encourager doucement quand elle délivre ce genre de caresse....




 Morgan arrête ses va et vient dans le ventre d' Elsa, enlève le martinet, s' amuse à frôler la fesse de la jeune femme de la pointe des lanières. Elle frémit, gémit, tète Florian dans l' attente du coup fatidique. Mais Morgan donne une série de petits coups légers, sans claquer, avant de venir à nouveau lui titiller diaboliquement la vulve avec le manche infernal... à nouveau Elsa est pénétrée avec ce gode improvisé. Elle suce Florian en rythme, le ventre et la bouche pris à la même cadence, avec le même plaisir... D'un coup Morgan s'arrête, retire le manche du martinet du ventre d'Elsa. Il s' attaque à la fermeture de sa jupe , la descend et fait glisser le vêtement le long des jambes de la jeune femme. Elle se retrouve à quatre pattes sur le canapé, vêtue seulement de ses bas noirs et de ses chaussures. En un autre moment, elle aurait apprécié à sa juste valeur l' image extrêmement érotique qu' elle forme ainsi, son visage allant et venant sur le sexe de Florian, ses cheveux sombres épars, sa peau blanche et nue contrastant avec le noir sensuel de ses bas. Elsa continue ses caresses, elle embrasse et lèche la verge de Florian à présent, sans négliger la moindre parcelle de peau, n' oublie pas les bourses, sa langue est chaleureuse, langoureuse, ensorcelante, ses mains accompagnent ces caresses pour les rendre plus diaboliques encore... Alors qu' elle le reprend en bouche et fait coulisser sa bouche tout le long de la verge, Morgan pose à nouveau sa bouche sur les fesses d' Elsa et couvre de baisers dévorant, sa langue s' insinue partout, excite la raie, glisse jusqu' à la vulve juteuse qu' il visite à fond avant de plonger dans la chaleur tropicale de son ventre... Eperdue, Elsa se contient pour ne pas lâcher Florian et hurler son plaisir de tout son saoul. Mais Florian n' entend pas être ainsi abandonné, et, sans être brutal, la maintient fermement et esquisse des gestes plus appuyés pour la guider. Elle le suce avec une gourmandise évidente, une main autour de sa verge, l' autre lui caressant les bourses. Soudain Morgan enlève sa bouche, saisit les bras d' Elsa, les passe dans son dos, et avant d' avoir pu réagir, celle-ci sent le contact froid de menottes se refermer sur ses poignets.

Par Dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 09:24
Elle balaie le bord de la route de route du faisceau de sa lampe, jusqu' à trouver un étroit sentier s' enfonçant en serpentant entre les arbres. Elsa s' y engage avec précaution, attentive à ne pas enfoncer ses hauts talons.... Mais il n' a pas plu depuis quelque temps et le sol est moelleux sous les pas, mais solide. Elsa se rapproche peu à peu de la maison, sa progression rendue périlleuse par le fait qu' elle met régulièrement la main devant sa lampe pour qu' on ne la voie pas de la maison . Par bonheur le chemin n' est pas situé en face de la fenêtre, mais un peu sur le côté . La maison est moins proche qu' elle ne l' aurait cru au départ ...Soudainement Elsa a plus froid, elle n' avait pas remarqué que l' air s' était rafraichi à ce point .... Est ce parce qu' elle marche moins vite ? Qu' importe, elle ne va pas rebrousser chemin si près du but sans avoir jeté un petit coup d'oeil ... La voici arrivée, elle quitte le sentier et s' avance près de la maison, qui de près et malgré l' obscurité environnante, parait plutôt délabrée . On dirait que les habitants ont du mal à l' entretenir . Elsa s' approche doucement, se colle sur le côté de la fenêtre, pas trop près à cause des toiles d' araignées qui ornent les coins de la fenêtre (beurk !) et risque un oeil à l' intérieur ....




L' homme n' est plus en vue, Elsa distingue ce qui semble être la pièce principale. Sur le mur de droite une cheminée massive abrite un feu qui dispense une lumière dansante et orangée... Un canapé lui fait face, flanqué de deux fauteuils qui semblent assez confortables. Un vaisselier, une table et une table basse complètent l'ameublement. Quelques lampes d' appoint sont allumées ici et là. Elsa allonge le cou pour essayer d' en voir plus, intriguée par la disparition de l' homme, avant de se rejeter précipitamment dans l' ombre. Il vient de ré-apparaître dans son champ de vision.

L' homme entre à nouveau dans la pièce, Elsa peut à présent le contempler de près. Et ce qu' elle voit lui fait courir des frissons de la nuque au creux des reins. Vraiment elle ne regrette pas ce petit détour. L' homme, plutôt grand, est harmonieusement bâti, des épaules assez larges, des jambes longues, des fesses musclées et un ventre ferme. Musclé mais sans excès. Elle ne distingue pas bien son visage, il se tient de profil, mais elle voit qu' il porte des lunettes et admire sa chevelure souple d' un châtain clair tirant sur le blond.

Ignorant l' admiration dont il est l' objet, l' homme traverse la pièce et va s' allonger sur le canapé. Il porte négligemment la main à son ventre, l' effleure, puis sans plus de manière attrape son sexe et entreprend de se caresser. Bouche bée, Elsa en lâche le sac et la torche qui lui échappent des mains. Ils atterrissent sur le sol avec un bruit mat. Elle sursaute, se traite intérieurement d' andouille et jette un regard inquiet à l' intérieur, prête à battre en retraite. Mais l' homme ne semble pas avoir entendu, fort heureusement, il continue ses caresses dans une posture d' abandon, la tête posée sur l' accoudoir du canapé, légèrement renversée en arrière. Esla se réjouit d' être si près, tel qu' il est installé l' 'inconnu lui fait face et elle profite au mieux, visuellement parlant, du spectacle. Fascinée elle observe le sexe de l'homme qui grandit dans sa main. Une petite voix intérieure lui souffle qu' elle ferait mieux de ramasser ses affaires pourvu que la torche ne se soit pas cassée dans le choc et de filer d' ici vite fait. Mais le frisson de l' excitation et de l' interdit se sont faufilés en elle, des picotements bien connus lui chatouillent agréablement le bas du ventre. Elle ne sent plus du tout la fraîcheur d' un seul coup, elle sent même une chaleur très agréable l' envahir par vagues, de partout. L' eau lui monte à la bouche et ailleurs sensation rendue encore plus agréable et excitante par l' absence de lingerie... " Trick or treat " dit le dicton ; la trique pas la peine de chercher plus loin, elle l' a trouvée pense-t-elle tout en souriant et se sermonnant intérieurement pour ses jeux de mots foireux. A propos de friandise, elle s' en accorderait bien une petite en guise d' apéritif ; et faute de pouvoir satisfaire sa gourmandise in situ, la belle relève sa jupe, écarte légèrement les jambes et glisse des doigts fins le long de son entrejambe humide.... Mmmmmhhh, quel soulagement, ça fait un bien fou .... Elle s' appuie avec langueur le long du mur de la maison, tout en continuant à espionner sa victime. Ses gestes s' alanguissent, elle rêve de pouvoir se laisser aller dans les bras de son amant imaginaire. Elle fait durer le plaisir, masse ses lèvres avec délices, se gardant d' effleurer son bouton qui appelle les caresses de toutes ses forces. Sous son bustier ses seins se tendent, que ne donnerait-elle pas pour sentir une bouche ou une main virile les torturer délicieusement. Elle y porterait bien la main elle-même, mais elle n' ose pas trop se dévêtir, et surtout elle se tient prête à s' esquiver à la moindre alerte. C' est déjà délicieux ainsi, chacune de ses caresses devient plus onctueuse grâce au nectar qui lui enrobe peu à peu les doigts. De temps en temps, elle tente une incursion au creux de son ventre, y enfonce deux doigts . A l' intérieur de la maison l' homme continue ses caresses viriles, son membre est tendu et bien gonflé à présent. Le doigt d' Elsa qui tournait autour du pot en douceur pour retarder l' instant fatidique s' apprête à accélérer et appuyer juste au bon endroit pour lui infliger l' estocade finale. Son ventre est tendu, son sexe palpite, elle n' en peut plus, se mord les lèvres pour ne pas gémir. Elle avance le doigt.... Son geste reste en suspend, un poigne d' acier vient de lui saisir le bras et la décolle du mur sans trop de ménagement. Elsa proteste, surprise, effrayée et surtout furieuse de s' être laissée surprendre.... Et interrompre au moment fatidique ! Dans l' éclairage de la fenêtre, elle distingue un homme, grand , brun, vêtu d' une longue cape. Le gars l' attire à lui, ouvre la porte et pousse Elsa à l' intérieur. Elle se débat, essaie de résister, tente de lui lancer un coup de pied dans les chevilles. Mais l' homme est fort malgré sa silhouette fine, il maintient fermement la diablesse et esquive l' attaque avec souplesse. C' est un drôle de duo qui pénètre dans la pièce sous les yeux médusés de l' homme allongé sur le canapé : un grand homme brun, au teint plutôt pâle, vêtu d' une cape noire .... et une sorcière échevelée, aux joues empourprées et au regard noir, le chapeau de guingois sur la tête.
Par Dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 21:00

Elsa sort de l'épicerie et resserre frileusement sa cape autour d'elle.  Elle tient à la main un sac contenant bonbons, biscuits et boisson, petite contribution à la fête d'Halloween à laquelle elle se rend ce soir. Dehors la nuit est tombée, apportant fraîcheur et un voile d'humidité impalpable. Elsa traverse la petite cour qui fait office de parking d'un pas pressé. Des voix joyeuses et des rires lui parviennent de la rue, dont la vue lui est cachée pour l'instant par les maisons hautes entourant l'épicerie. Aussitôt le seuil du parking franchi, elle se retrouve happé par une joyeuse troupe d'adolescents en délire, de plus petits déchaînés, accompagnés de quelques adultes qui tentent dans bien que mal de canaliser les bambins surexcités. Tout le monde est déguisé, qui en sorcière, en vampire, en squelette ou en citrouille ou autres montres d'épouvante… Prise dans le flot exubérant, Elsa entreprend de remonter la rue principale. Ils vont dans la même direction qu'elle. Ce n'est guère surprenant,  il n'y a quasiment que deux routes dans ce village situé en lisière de forêt, songe Elsa non sans une certaine ironie …

Elle est bien contente d'être venue passer quelques jours chez sa sœur aînée, mais pour rien au monde elle ne supporterait de venir s'enterrer ici. La campagne, elle supporte, mais  à dose homéopathique.

Ce soir pourtant, le village n'est pas sans charme, elle le reconnait. Les habitants se sont particulièrement prêtés au jeu cette année, les pelouses s'ornent de citrouilles éclairées et grimaçantes, les vérandas sont décorées de toiles d'araignée, fantômes, chauves souris, le tout baignant dans des lumières glauques du plus bel effet. Il faut dire que l'architecture du village se prête merveilleusement à l'ambiance d'Halloween. De la rue principale, où les habitations récentes entourées de jardins, côtoient les hautes demeures anciennes en pierre, partent de longs chemins s'enfonçant entre des haies feuillues… partout ce n'est qu'ombre, recoins, bosquets et allées inquiétantes échappant à la lumière orangée des réverbères…. Les enfants s'éparpillent à droite à gauche, allant sonner aux portes … On entend des rires incessants ponctués de cris perçants …

Un jeune compte Dracula d'environ 25 ans dépasse Elsa avec un sourire et un clin d'œil égrillard. Elle lui renvoie un sourire éblouissant. Il faut dire qu'avec sa cape noire doublée de satin orange, son bustier de satin noir, sa jupe en voile noir à paillettes, retombant en  lambeaux plutôt suggestifs sur ses jambes gainées de bas noirs  et ses escarpins assortis, Elsa est une sorcière très appétissante. Un chapeau pointu noir fièrement campé sur ses boucles sombres complète sa tenue.


Et personne ne devine que sous ce déguisement de sorcière affriolante, Elsa ne porte aucun sous vêtement. Un petit plaisir qu'elle aime s'accorder en secret. Elle adore sentir la caresse du vent caresser ses jambes, remonter sous ses jupes  et s'engouffrer là où vous savez. D' ailleurs ce soir la fraicheur environnante  commence à s'installer sous ses vêtements, lui procurant les plus délicieuses sensations….

La petite troupe parvient à un embranchement, Elsa prend à droite, laissant ainsi une grande partie du cortège qui continue vers la gauche, dans la rue principale. Quelques ados sont encore avec elle, la devançant un peu, leurs silhouettes s'éparpillent dans les halos orangés des lanternes à l'ancienne bordant la route. Ils s'arrêtent  à un portail,  sonnent… Elsa arrive à leur hauteur quand elle pousse soudain un hurlement et fait un bond de côté, imitée par les adolescents… Avant que tout le monde n'éclate de rire. Embusqués près du portail, abrités des regards par le mur de la clôture, deux jeunes d'environ dix sept ans, attendaient, tapis dans l'ombre…. Au coup de sonnette ils ont surgit comme des diables par-dessus le mur, avec force hurlements, aspergeant leurs victimes de serpentins en aérosol.

Elsa échappe de peu au désastre, mais les ados en ont plein les cheveux et les habits, pour la plus grande joie des deux farceurs.

Riant encore, Elsa reprend sa route, pour bientôt tourner à droite, empruntant un chemin qui conduit à la forêt…. Ici règnent le silence et l'obscurité, la commune n'ayant pas jugé utile d'équiper le chemin de réverbères. A cet endroit,  le rue longue des jardins obscurs et silencieux, les maisons sont en retrait de la route… Seul le martèlement de ses talons sur le bitume lui tient désormais compagnie. Inconsciemment, la jeune femme  accélère le pas. Elle sort la lampe de poche dont elle a eu la prudence de se munir.

Elle a hâte d'arriver maintenant, heureusement la maison de sa sœur n'est plus très loin, à 300 mètres tout au plus … de là ils repartiront tous chez les amis qui organisent la  soirée.

Elsa se réjouit à cette idée, elle  espère bien qu'il y aura là quelques célibataires potables et divertissants, et pas seulement les ancêtres qui peuplent le quartier où habite sa sœur. Elle ne voudrait pas paraître désobligeante mais elle n'a pas fait 300 km pour se laisser périr d'ennui dans ce trou …

Elle est presque arrivée,  les maisons ne bordent plus que le côté gauche de la route maintenant, sur la droite s'étend la forêt, sombre et vaguement inquiétante… dans la nuit les moindres bruits y résonnent, amplifiés, prenant des proportions exagérées. Les bois craquent. Elsa a même déjà entendu un hibou, alors qu'elle fermait les volets. Elle songe que si elle devait vivre ici, elle aurait les nerfs en pelote en peu de temps. Non, décidément, rien ne valait cette bonne vieille ville de Tours.

Plus que quatre maisons et elle est arrivée. Elle resserre frileusement les pans de sa cape autour d'elle… et s'immobilise soudain.  Son attention vient d'être attirée par une lumière, sur la droite, un peu plus loin, dans les bois … elle distingue une silhouette derrière un carreau. Bizarre, elle n'avait jamais remarqué qu'il y avait une maison à cet endroit. La lumière est bien nette pourtant, la silhouette passe à nouveau dans son champ de vision. Bien qu'un peu éloignée, Elsa distingue parfaitement que c'est un homme, et il est … complètement nu lui semble t il ! Elsa hésite une fraction de seconde …. Elle n'est pas très en avance…  Hésitation de courte durée, elle n'est à 5 minutes près et brûle de satisfaire sa curiosité d'un peu plus près. Il n'y a pas que les hommes qui ont un petit côté voyeur, songe la coquine en riant sous cape. Et si l'occasion se présente d'aller regarder de plus près un beau spécimen de mâle, elle ne va pas s'en priver.

Par Dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques
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Jeudi 6 novembre 4 06 /11 /Nov 09:33
Leurs corps reprennent une danse lente, langoureuse .... Laure enlace son amant, caresse son dos et ses reins. Son visage se trouve enfin dans la lumière, elle caresse sa joue, ses lèvres, leurs bouches se fondent en des baisers passionnés. Ils font ainsi l' amour longuement, langoureusement, Laure sent à nouveau monter le plaisir, et ils jouissent ensemble, mêlant leur plaisir et leurs cris.
Ils se laisser rouler ensemble sur le côté, étroitement enlacés, échanges des baisers tendres, des caresses apaisantes. Ils sont épuisés, repus, rassasiés. Laure couvre le torse de Vyc de baisers tendres, celui-ci caresse sensuellement son dos, ses fesses ..... au bout dun moment, Laure se retourne et se blottit tout contre Vyc, le dos collé contre son torse. Vyc enlace la jeune femme, leurs mains se nouent ... Silence ... ils sont bien ... Vyc sent le sommeil le gagner.
Laure s' agite légèrement. " Tu n' as pas soif ? "
Vyc sourit, il boirait bien un verre d'eau, en effet.
Laure se lève, passe brièvement dans la salle de bains pour se rafraichir un peu, puis file à la cuisine. Depuis la chambre, Vyc entend des verres teinter, l' eau couler, le bruit d' un tiroir qu' on ouvre, un léger remue ménage. Qu' est ce qu' elle peut bien faire ? Elle n' est quand même pas en train de leur préparer à manger à cette heure ci ? Il sourit, il y a des femmes qui meurent de faim après avoir eu un orgasme, Laure serait elle de celles là ?
La voici qui revient avec une bouteille d' eau et deux grands verres, elle en remplit un et le lui tend, s' en verse un autre, le boit lentement et pose le verre sur la table de chevet.
Puis elle va au pied du lit, s' affaire encore un instant. Vyc commence à se sentir légèrement agacé. Qu' est ce quelle fabrique encore ? Il aimerait bien dormir, maintenant ! " Quech que tu fais ?" , demande t il, l' articulation légèrement brouillée par le sommeil naissant.
" Rien, je cherchais juste un mouchoir ", répond Laure, souriante.
Sur ces paroles, elle se met à nouveau au lit et vient se pelotonner contre Vyc. Il repousse légèrement ses cheveux, l' embrasse dans le cou, sur l' épaule ... Soupirs de bien être ... ils sendorment ...
Vyc est le premier à se réveiller. Il contemple Laure, encore plongée dans le sommeil. Il a envie de faire l' amour, encore, avant de partir, mais décide de la laisser dormir. Puis, finalement, c' est peut être moins triste de ne pas se dire au revoir... rester ainsi sur le souvenir de leur étreinte et de leur nuit dans les bras l'un de l'autre... il pose un tendre baiser sur l' épaule de Laure, remonte la couette pour quelle n' ait pas froid.
Il enfile ses habits qu' il a laissé choir la veille au soir au pied du lit. Il se douchera chez lui, cest à 10 minutes, inutile de faire du bruit ici et de réveiller Laure. Il va dans l' entrée, il sait que Sonia y laisse toujours un bloc et un crayon. Il écrit un petit mot pour Laure. Il a très envie de la revoir, mais peut être préférera t elle réserver cette nui là comme étant unique, la réalisation dun fantasme.
Il écrit rapidement :
" Laure,
Merci pour cette nuit merveilleuse.
Si tu veux en rester là, je respecterai ton choix.
Mais j' aimerais beaucoup te revoir. Si tu en as envie, appelle moi. Vyc
Suivi de son numéro de portable.
Il détache la feuille du bloc, puis va dans la cuisine, enfile ses chaussures, prend des ciseaux. Il sort dans le jardin, la fraicheur matinale le fait frissonner. Rapidement il coupe quelques fleurs, puis rentre à l' intérieur. Il dépose le bouquet dans le verre, sur la table de chevet, et le papier plié tout à côté, bien en évidence.
Un dernier baiser sur la tempe de Laure, et il s' en va.

Il retrouve sa voiture, garée non loin de là. Il porte la main à la poche de son jean, il s' en grillerait bien une petite. Il est arrivé à sa voiture, il l' ouvre, le paquet à la main, s' installe à l' intérieur. Il ouvre alors le paquet de cigarettes. Et là, il découvre, soigneusement plié, un petit papier.
Vyc,
Cette nuit a été absolument fabuleuse.
Je te remercie.
Jaimerais qu' on se revoie, je te laisse mon numéro. Laure

Elle est maligne en plus ! Elle n'a pas fait l'erreur de glisser le papier directement dans la poche de son jean, des fois qu'il partirait directement au lavage.

Vyc démarre, un large sourire aux lèvres.


Dkresses - octobre 2008





Par dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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