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  • Dkresses
  • Le jardin des caresses
  • Femme
  • 05/04/1965

Entre nous ...

J'aime écrire, rêver et partager ... des petites histoires érotiques sorties de mon imagination, des lectures, des réflexions personnelles ... le tout saupoudré d'un peu d'humour. En résumé, partager dans le plaisir et la bonne humeur, tel est mon souhait.
Vos remarques et interventions sont les bienvenues.


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Jeudi 6 novembre 4 06 /11 /Nov 09:24
Le coeur de Laure cogne à grands coups sourds dans sa poitrine, alors qu' elle l' observe. Il s' avance, toujours empreint du même calme, de la même nonchalance qu' il a depuis qu' il est arrivé. Malgré la pénombre, Laure sent le regard de cet homme fixé sur elle, comme une caresse brûlante sur les moindres parcelles de sa peau. Elle sait qu' il anticipe déjà le reste de la nuit, il visualise déjà comment il va lui faire l' amour, dans quelles positions, avec quelle force ou quelle douceur, tout ce qu' il aura envie de lui faire dans les moindres détails. Son instinct lui dit qu' elle a affaire à un caractère déterminé malgré son flegme apparent. Elle sent son coeur sur le point de défaillir, sa peau frissonne... Comme par un accord tacite, aucun des deux ne prononce un mot. Ils savent que cela romprait le charme, la magie de ce moment qui semble hors du temps. Pourtant des questions se bousculent derrière les lèvres de Laure, bien que sous l' émotion il lui semble que son cerveau lui échappe totalement et fonctionne au ralenti. Elle s' efforce d' avoir l' air détaché et provocant, feignant une assurance qu' elle est loin de ressentir dans la réalité. L' espace dun instant, elle se dit qu' il en est peut-être de même pour lui.

Elle continue d' activer ses doigts, l' homme est au pied du lit maintenant, la pièce n' est pas très grande. Les faibles lueurs émanant du couloir jouent sur son corps, lui donnant une apparence d' irréalité. Laure se demande si elle ne s' est pas endormie sans s' en rendre compte. Elle le distingue un peu mieux maintenant qu' il est près d' elle, quoiqu' imparfaitement. Elle voit le contour de sa silhouette, ses cuisses allongées et musclées, ses bras, ses mains plutôt grandes. Une légère toison recouvre son corps, un peu plus fournie au creux de son torse, elle distingue une zone très sombre au niveau de son pubis. Elle voit son sexe, érigé dans la pénombre, et elle sent le sien s' ouvrir encore, avide de caresses, avide d'être comblé, son bas ventre se crisper, son désir s' écoule sur ses doigts en une sève brûlante. Sous sa nuisette, ses seins sont raidis d' excitation, elle en sent les pointes tendues à en gémir.

Le visage de l' homme reste dans l' ombre, ses traits demeurent flous, achevant de donner une atmosphère surréaliste à la scène. Laure distingue seulement l' éclat de ses yeux et ses cheveux qui luisent doucement dans les lueurs blafardes du couloir.
Gardant les yeux levés sur le visage de l' homme, Laura relève tranquillement l' avant bras sur lequel elle reposait, s appuyant maintenant sur son coude. Sa main se dirige vers le décolleté de sa nuisette, fermé par une ficelle coquine. Laura s' empare du ruban de satin, et sans quitter l' homme des yeux, tire doucement. Lentement, les boucles du noeud se dénouent et le décolleté s' entrouvre laissant apparaitre la naissance de ses seins voluptueux.
L' homme na pas perdu une miette du spectacle, il se penche, semble ramasser quelque chose, puis, toujours sans dire une parole, vient s' étendre de côté, derrière Laure. Elle voit qu' il tient quelque chose à la main, son souffle s' accélère encore, elle sait ce qu' il a pris dans sa valise. Alors, toujours en silence, l' homme saisit le poignet de Laure et enlève sa main de son sexe brûlant. D' un geste à la fois doux et sur, il la fait s' allonger sur le côté, puis replie la jambe du dessus, relevant sa cuisse contre son ventre Laure est ainsi confortablement installée et... la vulve complètement offerte. Il s' approche, juste derrière elle, mais en veillant à ne pas la toucher. Laure frissonne de la tête aux pieds, agitée de sentiments contradictoires, où l' appréhension se dispute à une violente excitation. L' homme approche sa main, et porte l' objet quil tient à sa bouche. Par-dessus son épaule, Laure l' observe, fascinée. Il s' est emparé du toy qu' elle avait mis dans sa valise, un gode denviron 2O cm, rigide, à l' extrémité généreusement arrondie. Extrémité qui disparait dans sa bouche, il tourne le toy, le suce langoureusement. Précaution inutile pour la lubrification, Laure sait qu' elle est trempée. Néanmoins le geste est extraordinairement sensuel et excite encore davantage la jeune femme. Elle sait aussi qu' il a lavantage de réchauffer le joujou ... L' homme sort enfin l' extrémité du toy de sa bouche et avance lentement la main. Ses doigts se posent sur les lèvres intimes de Laure qui ne peut s' empêcher de gémir .... enfin ! ... elle a tellement envie dêtre comblée. La tête arrondie du jouet vient se poser contre ses lèvres, il est d' une tiédeur agréable, l' homme joue encore un instant à faire rouler l' embout contondant contre le sexe de Laure, massant ses lèvres intimes, enduisant généreusement le toy de mouille par la même occasion. Puis soudain le jouet s' immobilise, tout à l' entrée de son sexe, et une douce pression l' enfonce lentement. Laure pousse un long gémissement, elle est excitée, le sexe ouvert mais le jouet la dilate encore, elle le sent avec délice dilater son antre, forçant doucement le passage. L' homme va doucement mais d' une seule poussée, qui semble sans fin. Laure se sent prise, investie au plus profond d' elle-même, jusqu' à ce que la tête du toy atteigne le fond de son vagin. Alors l' homme suspend son geste un bref instant, puis pousse à nouveau légèrement tout en tournant le gode sur lui-même, Laure gémit, tressaille sous cette pression intense qu' elle ressent tout au creux de son intimité. Puis le gode repart en sens inverse, tout aussi lentement, stimulant son vagin sur toute sa longueur. L' homme l' ôte complètement, mais laisse l' extrémité ronde appuyée contre la vulve de Laure... dépossédée, elle cherche à s' empaler à nouveau, la tête arrondie du toy force encore une fois mollement le passage et s' immisce à nouveau en elle .... elle ressent en elle le moindre millimètre de la progression ... lentement ... doucement .... mais cette fois, alors qu' il est arrivé à mi parcours seulement, l' homme le retire tout aussi langoureusement. Laure est frustrée, elle s' agite, une main ferme se pose sur sa hanche pour l' immobiliser. Puis le gode rentre à nouveau, un peu plus rapidement cette fois, il va cogner dans le fond de son ventre un peu plus fermement. Laure se cabre, l' homme joue, il lui inflige ainsi quelques aller retour, augmentant subtilement la fermeté et la cadence. Laure s' embrase, gémit, halète, lui accélère encore ses mouvements, il va franchement maintenant. Les mains de Laure s' agrippent au drap, sous elle, elle sent l' orgasme monter inexorablement, un plaisir intense lui envahit le sexe, le ventre à cette instant elle a une pensée incongrue, elle se demande si l' homme à ses côtés a déjà fait l' amour avec Sonia. Précipitamment, elle cherche à repousser la vision de leurs deux corps, les seins de Sonia écrasés contre le torse de son amant, ses cuisses relevées, son sexe à lui profondément ancré dans le ventre de Sonia, la baisant passionnément. Furieuse d' éprouver une vilaine petite pointe de jalousie... Et une intense excitation aussi ! Elle jouit .... violemment, elle pousse de petits cris, se tord, lui ne ralentit pas la cadence, il continue, enfonce toujours le toy , Laure a toujours les mains crispées sur le drap, l' orgasme n' en finit pas, elle jouit en une longue plainte continue, un deuxième orgasme se déclenche ininterrompu avec le premier.

à suivre ....
Par dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Jeudi 6 novembre 4 06 /11 /Nov 09:23
Elle devrait avoir le réflexe de resserrer les jambes, de remonter la couette sous son menton, mais elle ne bouge pas. Elle n' en a pas envie et s' en étonne elle-même. Elle n' est pas de nature impudique pourtant. Mais elle trouve très excitant d' être là, dans la pénombre, exposée à cet homme dont elle ne sait absolument rien, tous les deux isolés dans cette maison déserte. Elle s' étonne aussi de ne pas avoir peur, l' excitation prend très nettement le pas sur toutes ses autres sensations. Peut-être l' attitude calme et tranquille de l' homme la rassure-t-elle.... S' il lui voulait du mal, pourquoi resterait-il ainsi appuyé contre la porte, plutôt que de se ruer sur elle ? Quoique cela ne veut rien dire, il y a des pervers qui aiment s' amuser avec leur proie avant de leur infliger les pires sévices. Mais son instinct lui dit que ce n' est pas le cas. Ils n' ont toujours échangé aucun mot, on entend juste dans la pièce le bruit de leur respiration ... de celle un peu courte de Laure plutôt, l' homme lui ne montre aucun signe de nervosité, il est d' une décontraction désarmante.

Laure sent une chaleur bien connue naître et se propager dans le bas de son ventre. Bien qu' elle ne voit pas distinctement l' homme, elle le fixe des yeux dans la pénombre, et pose lentement une main sur son genou replié. Elle écarte imperceptiblement les jambes, accentuant légèrement l' ouverture de ses cuisses. Toujours pas un bruit, mais elle est sûre que ' homme en face retient son souffle, elle le devine à une raideur légère et soudaine dans son maintien. Elle est presque certaine, pourtant, que d' où il est placé, il ne peut voir que jusqu' en haut de ses cuisses, son intimité doit être voilée dans la pénombre. L' excitation de Laure monte d' un cran, elle serait ne se connaissait pas ce côté un rien pervers. Oui, il doit deviner plus qu' il ne voit, mais quoi de plus affolant que la suggestion ? Il voit cette femme, offerte, semblant lui lancer une invitation muette. La main de Laure passe à l' intérieur de son genou, puis remonte très lentement le long de sa cuisse elle ne quitte pas l' homme des yeux, dans lobscurité leurs regards sont rivés l' un à l' autre elle entrouvre la bouche et passe lentement sa langue sur ses lèvres sa main s' immobilise juste en haut de ses cuisses, le bout de ses doigts posé sur ses lèvres, mais sans les caresser. Quelle garce ! Elle nen revient pas de se sentir aussi provocante ! ... aussi s@lope. Elle ne s' en est pas rendu compte, mais ses seins se sont tendus sous la nuisette, ils sont gonflés et se soulèvent sous le tissu par saccades.

L' homme bouge soudain. Toujours sans aucune hâte, il enlève son pull. Dans la clarté blafarde du couloir, Laure entrevoit le dessin de ses biceps son estomac se noue Elle ne distingue rien de plus précis, il semble avoir une carrure mince, mais pas maigre, et harmonieusement musclée. Le pull choix mollement au sol, sans bruit. Laure déglutit, avec un peu de difficulté, les mains de l' homme descendent à sa ceinture maintenant donc il ouvre la boucle avec aisance avec une lenteur étudiée, il ouvre un à un les boutons de son jean, puis l' entrouvre et le baisse légèrement. Laure voit qu' il ne sest pas encombré avec les sous vêtements. Elle agite nerveusement les doigts le long de sa vulve. sans en avoir vraiment conscience , elle effleure son clitoris... s' aperçoit que maintenant elle est mouillée et pas qu' un peu ! L' homme laisse glisser le jean le long de ses jambes, Laure se demande si cest vraiment confortable de se balader ainsi en jean sans rien en dessous, mais p#tain que c' est excitant à voir !! L' homme finit de se débarrasser de son jean avec nonchalance, il a du enlever ses chaussures dans la cuisine, c' est pour cela qu' il se déplaçait silencieusement. Tout semble se dérouler au ralenti, Laure se sent pétrifiée, hypnotisée mais en même temps ses doigts s' animent, elle éprouve une furieuse envie de se caresser maintenant ... dans le clair obscur de la pièce, la silhouette de l' homme se dessine, gracieuse, et elle voit nettement qu' il ... bande !

Laure sent maintenant la chaleur l' envahir de partout. Rassemblant un minimum de volonté elle fait glisser ses fesses vers le pied du lit et toujours en appui sur un bras, se renverse en arrière ... et cette fois écarte franchement les cuisses. Son sexe n' est plus noyé dans l' ombre maintenant, du bout des doigts elle écarte ses lèvres et se caresse ostensiblement. Son majeur va et vient, s' insinue entre ses lèvres, ses recoins les plus intimes, remonte à son bouton...

Cessant alors de s' appuyer à de l' encadrement de la porte, l' homme se redresse et fait un pas vers elle.

à suivre ....
Par dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 16:45
Laure se retourne dans son lit. Le sommeil la fuit. Il est plus de trois heures du matin et elle n' a pas encore fermé l' il. Le changement de lit peut être ? En déplacement professionnel sur Lyon, Laure dort chez son amie Sonia, elle-même partie dans sa famille pour 48 heures.
Alors peut-être est ce le fait de se trouver seule dans une grande maison inconnue, elle qui est habituée à l' espace plus modeste de son appartement. Dans ce pavillon situé dans un quartier résidentiel, elle se sent isolée. Chez elle, dans son appartement, elle est entourée, protégée par la présence invisible de ses voisins. Ici elle n' est pas très tranquille... en plus on entend un tas de bruits bizarres, craquements, bruit du vent ... Laure est nerveuse. Et le vin quelle a bu au diner n' arrange rien. Elle devrait le savoir pourtant, depuis le temps, qu' elle ne supporte pas le vin blanc. A chaque fois c' est la même chose, elle est énervée et agitée, et met des heures à s' endormir.

Soupirant, elle remonte un peu les genoux, passe sa main entre ses cuisses... les remonte jusqu' à son intimité. Caresse ses lèvres du bout des doigts, les écarte doucement, remonte jusqu' à son pubis. Elle est intégralement épilée et elle aime la douceur soyeuse de sa peau, particulièrement à cet endroit. Elle ne se lasse pas de laisser vagabonder ses doigts, dans ses moindres recoins. Elle adore se caresser, elle s' adonne à cette douceur plusieurs fois par jour. C' est agréable quand elle est seule et il lui faut peut de temps pour atteindre lorgasme. Et quand elle n' est pas seule, et bien elle n' en est que plus en forme et gourmande quand elle retrouve son homme. Alors, qui s' en plaindrait ?

Mais ce soir, rien ! Elle s' est longuement caressée, pendant plus d' une heure, elle en est sûre, mais rien ! Elle éprouve du plaisir, c' est bon mais elle reste bloquée sans pouvoir atteindre lorgasme. Elle a beau se concentrer et imaginer des scènes érotiques résolument pornographiques même, rien n' y fait. Elle n' est même pas mouillée. Elle se retourne sur le dos, jambes écartées, et enlève sa main. Elle commence à ressentir une brûlure au niveau de la vulve, pas étonnant à se caresser ainsi, alors qu' elle est toute sèche. Elle a bien du gel, dans sa valise ouverte au pied du lit, mais elle a la flemme d' aller le chercher. Dans ces conditions ma fille, ne t' étonne pas de ne pas jouir, se dit-elle, a-t-on déjà vu plus grande fainéante ? Le fait est qu' elle ne se sent pas très bien, épuisée sans pouvoir atteindre le sommeil. Trop épuisée pour se déplacer jusqu'au pied du lit. On verra plus tard se dit-elle, si dans une demi-heure je ne dors toujours pas...



Elle se relève soudain sur un coude, le cur battant. Elle a entendu un bruit, elle en est certaine. ça vient de la cuisine. Sous l' effet de la panique, elle n' arrive pas à se souvenir si elle a vérifié que la porte de derrière est bien fermée. Les yeux écarquillés, elle fixe le couloir. Pour profiter de la chaleur de la cheminée, elle a laissé la porte ouverte. Le couloir est faiblement éclairé, par les réverbères de la rue dont la lumière traverse la vitre de la porte d' entrée... par les lueurs du feu, dans la salle à manger dont la porte est ouverte et enfin par la clarté provenant de la cuisine dont elle n' a pas fermé les volets.
Il lui semble entendre des pas. Mais elle ne sait pas si c' est son imagination, son cur bat à tout rompre et lui semble faire un tapage infernal. Soudain, elle voit une silhouette émerger lentement de la cuisine. Cest un homme, elle le devine à sa silhouette et à sa démarche. Mais elle ne voit rien de plus, le couloir n' est pas assez éclairé. Il avance tranquillement, sans bruit, sans un mot, se dirige vers la chambre. Il n' a pas une grande distance à parcourir. Encore quelques pas et il s' appuie au chambranle de la porte. Laure est figée, comme paralysée. Elle voudrait crier, parler, mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle arrive tout juste à respirer.
L' homme ne bouge pas, ne dit rien, il semble la contempler dans la pénombre. Elle s' aperçoit alors qu' elle est restée appuyée sur un coude, la nuisette retroussée, une jambe sur le lit et l' autre relevée et repliée, largement ouvertes.

à suivre ....
Par dkresses - Publié dans : Rêveries érotiques - Communauté : Sensualité & Simplicité
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Vendredi 31 octobre 5 31 /10 /Oct 21:08



Il arrive dans la vie qu'on ne sache plus qui on est vraiment.

Il arrive dans la vie qu'on se dise : Et maintenant ?

Il arrive dans la vie qu'on ait besoin d'évsion, besoin de rêver.

Il arrive dans la vie qu'on ait envie de se confier.

Il arrive dans la vie qu'on ai besoin de se défouler.

Il arrive dans la vie qu'on ait envie de partager.

Il arrive qu'on ouvre alors un blog :-)


Par dkresses
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